L’allemand ne fait pas partie des langues latines me direz-vous, alors pourquoi cet article dans cette catégorie ? Evidemment, il est plus habituel de se référer au latin pour faire des parallèles avec l’espagnol, l’italien, ou même le français. Et pourtant, vos souvenirs de cette langue morte vous seront bien utiles pour faciliter certains aspects linguistiques de l’allemand, et parmi ceux qui semblent souvent les plus compliqués à appréhender.
L’une des difficultés de l’allemand est le placement du verbe dans la phrase, qui diffère du français et demande donc aux francophones une gymnastique particulière. Il faut du temps pour intégrer cette spécificité ainsi que de la pratique pour être à l’aise avec ce système et l’utiliser naturellement. Cependant, il existe un moyen de simplifier ce mécanisme et par conséquent de vous faciliter la vie dans vos conversations courantes. Etudions ensemble cette règle grammaticale et la manière dont vous pouvez l’aborder plus aisément.
Les mots allemands peuvent vous paraître complexes si vous n’avez pas l’habitude de les pratiquer. A première vue, il n’est pas évident de trouver des similitudes avec les mots français, ce qui a priori ne facilite pas la tâche…
L’étude de la grammaire allemande vous amènera rapidement à vous confronter aux déclinaisons, élément linguistique qui diffère du français et auquel les francophones ne sont pas habitués. Elles sont cependant essentielles dans la pratique de l’allemand, et vous devrez les maîtriser pour pouvoir parler sans faute. Voyons ensemble pourquoi elles sont indispensables dans la construction des phrases allemandes.
Lorsque vous commencez à apprendre l’allemand, vous êtes tout de suite confronté à une difficulté de prononciation, celle du son « ch », celui qui est proche du nôtre, car cette même orthographe se formule différemment dans d’autres cas.